Qu'est-ce qu'un pédophile ?

Cette vidéo interroge la figure du « monstre » et les idées reçues autour des auteurs de violences sexuelles : dangerosité, troubles mentaux, récidive... Une invitation à réfléchir autrement, pour sortir des amalgames et faire évoluer les regards.

Qu'est-ce qu'un pédophile ? 

Il s'agit d'un individu pervers, insensible à la souffrance d'autrui, allant même jusqu'à la provoquer pour son propre divertissement.

Dans notre société contemporaine, le pédophile récidiviste, incarnant l'essence même du mal, est perçu comme une figure absolue du mal. Il est dépeint comme un monstre inhumain, enfermé dans cette image. Toute interaction avec lui est perçue comme risquée, car il représente un danger constant et toute tentative de traitement est considérée comme vouée à l'échec. Cette perception du monstre est indélébile. On présume qu'il niera toute responsabilité et qu'il récidivera inévitablement, restant ancré du côté obscur. Il est exclu de la société des êtres humains à part entière. 

Cependant, même les individus souffrant de troubles mentaux peuvent susciter de la compassion ou de l'empathie. Ils sont potentiellement ceux que l'on peut aider, accompagner, soigner, voire guérir. Cela nécessite un changement de perspective, un renouvellement des normes de vie. Cette perception tenace illustre clairement l'amalgame entre maladie mentale et dangerosité, alimentant ainsi la stigmatisation à l'égard des personnes atteintes de troubles mentaux. Il est courant d'entendre dire qu'il faut être fou ou souffrir de troubles mentaux pour commettre une agression sexuelle.

Qu'est-ce qu'un pédophile ? 

Il s'agit d'un individu pervers, insensible à la souffrance d'autrui, allant même jusqu'à la provoquer pour son propre divertissement.

Dans notre société contemporaine, le pédophile récidiviste, incarnant l'essence même du mal, est perçu comme une figure absolue du mal. Il est dépeint comme un monstre inhumain, enfermé dans cette image. Toute interaction avec lui est perçue comme risquée, car il représente un danger constant et toute tentative de traitement est considérée comme vouée à l'échec. Cette perception du monstre est indélébile. On présume qu'il niera toute responsabilité et qu'il récidivera inévitablement, restant ancré du côté obscur. Il est exclu de la société des êtres humains à part entière. 

Cependant, même les individus souffrant de troubles mentaux peuvent susciter de la compassion ou de l'empathie. Ils sont potentiellement ceux que l'on peut aider, accompagner, soigner, voire guérir. Cela nécessite un changement de perspective, un renouvellement des normes de vie. Cette perception tenace illustre clairement l'amalgame entre maladie mentale et dangerosité, alimentant ainsi la stigmatisation à l'égard des personnes atteintes de troubles mentaux. Il est courant d'entendre dire qu'il faut être fou ou souffrir de troubles mentaux pour commettre une agression sexuelle.